Notre nouvel article, basé sur la comparaison structurale, enzymatique et bio-informatique entre transcétolases de microorganismes pathogènes et animales (Homme), met en avant des différences importantes. Ainsi, en ciblant des régions uniquement présentes chez les pathogènes, il est possible identifier des inhibiteurs n’ayant pas d’effet sur la transcétolase humaine, validant ainsi formellement les hypothèses du projet CEITOP.
Ces travaux sont publiés dans Biochemistry (https://doi.org/10.1021/acs.biochem.3c00714).